La directive encourage un nettoyage méthodique des propriétés et de leurs environs, avec une attention particulière aux zones végétalisées qui peuvent abriter des larves de moustiques. Les mesures recommandées incluent "la larvicidation et la fumigation régulières" de toutes les zones à risque.
Au-delà de ces actions préventives, les opérateurs sont également invités à informer leur clientèle sur les moyens de se protéger contre les piqûres de moustiques, vecteurs de la maladie.
Cette démarche s'inscrit dans une stratégie de gestion proactive alors que la saison touristique se poursuit dans plusieurs destinations. Les autorités s'appuient sur "la compréhension et la collaboration habituelle" du secteur pour maintenir des conditions d'accueil optimales.
Le Chikungunya, caractérisé par des symptômes fébriles et articulaires, fait l'objet d'une surveillance constante dans les zones touristiques qui veillent à préserver à la fois l'expérience des visiteurs et leur bien-être.